Prédication du 20 octobre, Prier Dieu à ciel ouvert

Chez les Valaisans, la question rituelle, c’est « T’as où, les vignes ? »Quand les Juifs et les Samaritains se croisaient, la question, c’était : « T’as où, ton Dieu ? »Et la réponse ne pouvait être que conflictuelle. Jusqu'à ce que Jésus sonne la fin de toute notion de lieux saints. D'après 1 Corinthiens 3 et Jean 4


Prédication du 13 octobre, Des soifs à étancher

Quand je la vois la Samaritaine et Jésus, adossés à la margelle du puits, je me dis que « sur un malentendu, ça peut marcher ».Et quand je relis l’histoire de ma relation avec Dieu, je me dis que, de lui à moi, sur un malentendu, bien des miracles ont déjà eu lieu. D'après Jean 4: 1 à 15




Prédication du 1er septembre, "Et Jésus soupira".

Face à l’homme sourd qu’on lui amène, Jésus commence par faire silence. Parce qu’il n’y a rien à dire pour justifier ce qui lui arrive. Dans un second temps, il soupire. À ce stade, aucun mot n'est encore articulé. D'après Marc 7: 32 à 37


Prédication du 18 août, "La saveur de la parole".

« Je suis le pain vivant qui descend du ciel. Celui qui mangera de ce pain vivra pour l’éternité. Et le pain que je donnerai, c’est ma chair, donnée pour que le monde ait la vie. »Avec ces mots, Jésus ne se contente pas d’annoncer sa passion. Il nous avertit de ce qui nous attend, de ce qu’il attend de nous, si nous goûtons à lui. D'après Jean 6 et Ézéchiel 2




"Le ciel comme patrie?", culte du 1er août

Évoquer la patrie, c’est en appeler à quelque chose de stable, de solide, de fédérateur.Ce qu’il y a de paradoxal, pour la pasteure que je suis, c’est que nombre de récits bibliques questionnent cet imaginaire collectif qui teinte le mot de « patrie ».