Prédication du 1er septembre, "Et Jésus soupira".

Face à l’homme sourd qu’on lui amène, Jésus commence par faire silence. Parce qu’il n’y a rien à dire pour justifier ce qui lui arrive. Dans un second temps, il soupire. À ce stade, aucun mot n'est encore articulé. D'après Marc 7: 32 à 37


Prédication du 18 août, "La saveur de la parole".

« Je suis le pain vivant qui descend du ciel. Celui qui mangera de ce pain vivra pour l’éternité. Et le pain que je donnerai, c’est ma chair, donnée pour que le monde ait la vie. »Avec ces mots, Jésus ne se contente pas d’annoncer sa passion. Il nous avertit de ce qui nous attend, de ce qu’il attend de nous, si nous goûtons à lui. D'après Jean 6 et Ézéchiel 2




"Le ciel comme patrie?", culte du 1er août

Évoquer la patrie, c’est en appeler à quelque chose de stable, de solide, de fédérateur.Ce qu’il y a de paradoxal, pour la pasteure que je suis, c’est que nombre de récits bibliques questionnent cet imaginaire collectif qui teinte le mot de « patrie ».





Prédication du 26 mai, "Devenir comme des enfants..."

Lorsque Jésus nous encourage à devenir (non pas redevenir) comme des enfants, il en appelle à l'ouverture, la confiance, la malléabilité. Pas grand-chose à voir avec la sagesse populaire qui nourrit l’imaginaire selon lequel un enfant est a priori pur et innocent. D'après Matthieu 18 et Marc 10